Musée Grévin
Après un son et lumière dans le Palais de Mirages, kaléidoscope géant, la visite commence et laisse présager du pire. Thierry Lhermitte nous accueille et ne se ressemble pas vraiment. Faudel encore moins. Heureusement, la suite est bien meilleure. Le Théâtre du Tout Paris présente quelques bonnes statues de cire, aussi vraie que nature. Idem dans le petit bistrot parisien. L’agencement est plutôt surprenant. Pour le centième anniversaire de la traversée de la Manche, Blériot se retrouve entre Zidane, Laurel & Hardy et Brigitte Bardot. Puis l’histoire de France tronquée et pas vraiment chronologique. Et pour finir, les personnages anciens regroupés dans un grand hall. En sortant du musée, on ne peut s’empêcher de faire un parallèle avec le cousin londonien et l’exercice donne encore une légère tête d’avance à Madame Tussaud’s qui sait peut-être coller un peu plus à son époque et gérer les espaces d’exposition. Le bilan de la visite est tout de même positif.
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